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Goeulzin

Publié le par Annie Desfrennes

Goeulzin

Ruines du chateau de Goeulzin avec en premier le pavillon de chasse , aquarelle au format 50 sur 70cm.

Visible de la Place du Général de Gaulle.

Le château et l’église apparaissent sur deux toiles des albums du Duc de Croÿ peints par Adrien de Montigny, peu après 1600.

Les fondations remontent au Moyen âge. Le comte de Bucquoy, Baron de Vaux, le reconstruit entièrement en briques, grès, et pierres blanches, au début du 17ème.

Les soubassements sont encore visibles ainsi que le fossé, ainsi que les deux hautes tourelles aux angles reliées par un long corps de logis rectangulaire, dont l’une a perdu sa poivrière en 2002.

La dernière restauration de la demeure est effectuée au XIXe par Louis Taffin d’Heursel, il fit installer une galerie ‘gothique flamboyant’ déplacée sous le second empire, il n’en subsiste rien aujourd’hui.

Dans le parc du château existait la pierre tombale à l’effigie de Jacques de Lille, seigneur de Goeulzin, et de Jacqueline de Ligne, sa femme, du XVIe, visible au musée de Douai..

La comtesse d’Heursel décédée en 1911 est le dernier membre de la famille Taffin qui posséda le château.

Les troupes allemandes en 1914 construisirent un abri aux pieds des murailles, très endommagé par la guerre, l’édifice, classé aux monuments historiques, ne cesse ensuite de se dégrader.

Devenu propriété privée, il sera déclassé en 1963 à la demande de son propriétaire.

Seul le pavillon de chasse a été préservé et restauré, certains éléments du château ont été incorporés lors de sa remise en état.

La tour carrée du château classée fin 2002, devrait être restaurée, elle présente un intérêt particulier, il s’agit d’une tour glacière colombier, il n’en subsiste que quelques unes de ce type en France.

La glace était stockée l’hiver dans la partie basse pour être utilisée à la conservation des viandes, le pigeonnier occupait l’étage.

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Eps Herbeval

Publié le par Annie Desfrennes

Eps Herbeval

Ruelle du petit village de Eps Herbeval , aquarelle sur papier au format 50 sur 70cm..

EPS - HERBEVAL

Une église paroissiale du canton d’Heuchin, Eps-en-Artois, fut édifiée en 1515, suivant graffite, fenêtre Nord de la première travée. Elle est sous l’invocation de Saint-Martin, est classée au répertoire des monuments historiques pour son clocher.
A l’origine, figurait sur la gouache de Croÿ de 1610, une nef avec un chœur plus bas et à deux travées, mais aussi une belle flèche de pierre à crochets surmontant la tour carrée de 14 mètres éclairée dans le haut par deux fenêtres par côtés. Cette flèche a été détruite en 1882. La tour du XVème siècle, de grandes proportions, éclairée dans le haut par deux fenêtres en arc brisé, conserve encore des reste d’arcades et de roses. Elle n’est plus aujourd’hui que coiffée par un toit pyramidal bas. Les contreforts qui la soutiennent laissent apparaître de mêmes arcatures que sur la tour. Le porche Est de style roman semble plus ancien. La porte principale « en anse de panier » est surmontée d’un écusson brisé, complètement martelé, soutenu de deux lions dont celui de dextre, est reconnaissable. Une tourelle, au sud-est, renferme l’escalier.
L’église n’a qu’une nef avec, côté Nord, un porche roman. Celui-ci, saccagé en 1543 par les hommes de François Ier, a été rétabli au XVIème siècle, dans sa forme ancienne avec colonnes ornées de chapiteaux à feuilles déchiquetées, vouté d’ogives, malgré sa baie en plein cintre. Une statuette de Notre Dame de la Salette se trouvait encore en 1985 dans une niche, elle est aujourd’hui remplacée par une croix.
Le chœur est du XVIIIème siècle. A l’intérieur, trois autels, un fût de colonne soutient un vaste chapiteau dont la voûte de nef est lambrissée. Elle repose sur une corniche par six des blochets polychromes classés, rescapés de la révolution française. Ils sont remarquablement mis en valeur et représentent les patrons des métiers traditionnels. La chaire est également classée. Les fenêtres sont à ogives et montants prismatiques.
Un chemin de croix en carreaux de céramique, œuvre du monastère de Wisques, date des années 1950.
Les derniers travaux de restauration intérieure remontent à 1990 et ceux de toiture en 2006.
La population du village est en augmentation depuis plusieurs années et recense 251 habitants en janvier 2007

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Prés de la lampe

Publié le par Annie Desfrennes

Prés de la lampe

Prés de la lampe ,aquarelle sur papier 300gr au format 50 sur 60cm.

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Royon

Publié le par Annie Desfrennes

Royon

Cascade du moulin de Royon , aquarelle sur papier au format 50cm sur 60cm

Le moulin de Royon est situé sur le parcours de la Créquoise.

Témoin du riche passé de l'ancienne propriété (détruite au cours de l'été 1944), le moulin situé sur la Créquoise constitue un joli tableau dans lequel la chute d'eau met encore de la vie. Fait par Louis Leduc en 1813, comme en témoigne une inscription, il a vraisemblablement été construit entièrement en pierre, avant d'être l'objet de transformations importantes pour lesquelles le bâtisseur a fait appel à la brique.

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Vue du pont a Serques

Publié le par Annie Desfrennes

Vue du pont a Serques

Voila ce que l'on voit sur un petit pont a Serques , aquarelle sur papier 300gr au format 50cm sur 60cm.

Vue du pont a Serques

Histoire

Arnould, seigneur de Serques se fit religieux au monastère de Licques et donna à cette abbaye la moitié du village de Serques laissant le reste à ses deux enfants qui acquiescèrent à ce partage ainsi qu il paraît par les lettres authentiques passes en présence de six témoins de considération en l'an 1170 qui se trouvent dans les titres du monastère de Licques

Vue du pont a Serques

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Coin d'ombre dans le marais

Publié le par Annie Desfrennes

Coin d'ombre dans le marais

un coin a l'ombre dans la marais audomarois, aquarelle au format 50cm sur 40cm.

Coin d'ombre dans le marais

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