Herbarium a saint Valery sur Somme, acrylique sur toile au format 40cm sur 50cm.A quelques encablures de la baie de Somme, l'Herbarium
anime les hauteurs des remparts de la vieille ville.
Ce jardin clos de 1700 m2, orienté sud et baigné par l'air de la Somme, s'articule en étoile autour du vieux pommier qui se trouvait là quand Nicole Quillot a découvert ce terrain abandonné. Un
espace occupé autrefois par une communauté religieuse. Dans l'esprit de l'époque, l'herbarium est un jardin vivrier : jardin textile, jardin des simples,
jardin médicinal, aromatique, tinctorial. Un jardin utile qui sait aussi être beau.
C'est aussi un conservatoire végétal qui présente une biodiversité importante. Avec plus de 1 000 espèces étiquetées, l'herbarium a une visée botanique et pédagogique.
L'absence d'engrais, d'insecticides et de tout produit chimique a favorisé la venue d'animaux
Dans les environs de Saint Omer voici une grange de Pihem avec dans le lointain l'église.acrylique sur toile au format 8F. Pihem signifie "la maison du puits". Les habitations se répartissent entre le village et 2 hameaux qui sont Bientques et Petit Bois.
Pihem est un nom composé de deux syllabes celtoteutoniques :
"Pi" et "Hem".
Pi vient de Pit/Put/Putja, signifiant puits et Hem de Hem/Heim/Haim signifiant maison. Ce qui veut dire la maison du puits. À signaler l'installation de ce village sur une hauteur, d'où la
nécessité d'un puits pour accéder à l'eau.
Marchand de glaces avec son triporteur sur la place d'hesdin, acrylique sur toile au format 30cm sur 40cm.Au pays daga d'Aragon Il y avait ugud' une fille Qui aimait les glaces au citron Et vanille Au
pays degue de Castille Il y avait tegue d' un garçon Qui vendait des glaces vanille Et citron Moi j'aime mieux les glaces au chocolat Poil au bras Mais chez mon pâtissier il n'y en a plus C'est
vendu C'est pourquoi je n'en ai pas pris Tant pis pour lui Et j'ai mangé pour tout dessert du camembert .BOBY LAPOINTE
Aquarelle au format 40cm sur 30cm .Le battage à l'ancienne Le battage prit son essor dans la deuxième
moitié du 19e siècle avec les locomobiles à vapeur.Un bon batteur au fléau battait 50 à 80 gerbes par jour. Ce travail pénible durait des mois et un vannage était nécessaire pour trier le grain
de la menue paille.Avec la vapeur, la batteuse mécanique parvient à battre 100 à 250 gerbes en une heure, tout en effectuant le vannage. L'ensemble du travail est fait en3 ou 4 jours et la
récolte est prête à être vendue. La locomobile était chauffée au charbon et pour éviter qu'une étincelle ne mette le feu à la paille, elle était reliée à la batteuse par une longue
courroie.Pour permettre l'usage de ces machines onéreuses et peu utilisées dans l'année à tous les cultivateurs, on créa des entreprises de battage qui se déplaçaient de ferme en ferme avec leur
matériel et leur personnelBattage a l'ancienne en 1900, aquarelle sur papier au format 30cm sur 40cm.